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La machine n° 3 n'est pas à vendre

LA RÉDACTION, LE 6 JUILLET 2015
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Depuis le 19 juin, la machine à papier n° 3 du site de Chapelle Darblay à Grand-Couronne appartenant au groupe finlandais UPM est arrêtée. Sans surprise pour les salariés, ni les pouvoirs publics, cette décision avait été prise de longue date pour des raisons principalement économiques marquées par une forte chute de la consommation de papier journal. Sans plus attendre, une commission industrielle soutenue par la Région et les syndicats de salariés avait travaillé sur l'avenir du site et de cette machine. Des projets viables de développement ont été identifiés pour assurer une seconde vie à cette machine à papier, mais à ce jour, le groupe UPM a déclaré qu'elle n'était pas à vendre. La commission ne désespère pas pour autant et, d'ici à l'automne, va essayer de convaincre l'industriel de revenir sur sa décision. L'idée est de développer en parallèle une activité de fabrication de papier d'emballage, indépendante de l'activité d'UPM Chapelle Darblay. L'arrêt de la machine n° 3 a entraîné la suppression de 155 postes. Le projet de reprise pourrait conduire à la création d'une centaine d'emplois. Indépendamment de l'avenir de cette ligne de fabrication, UPM souhaite contribuer au développement de Chapelle Darblay à plusieurs niveaux. Tout d'abord, le groupe va se concentrer sur l'amélioration de la qualité du désencrage pour produire du papier journal encore plus blanc sur la machine n° 6 restante. Le développement du transport fluvial demeure d'actualité, tout comme le déploiement du tri des flux fibreux (papiers-cartons) sur le site. Enfin, il n'est pas exclu que le site de Chapelle Darblay accueille à terme une plateforme de réception des papiers collectés par Recy'Go. Dans un autre registre, UPM veut s'inscrire dans une démarche d'écologie industrielle dans laquelle, par exemple, il serait question de valoriser en techniques routières les cendres issues de la combustion de la chaudière à biomasse, mélangées à des sédiments de dragage.


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