Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
Accueil > Actualités > Recyclage > L'arrivée de la concurrence conduit Eric Brac de La Perrière vers la sortie
RECYCLAGE

L'arrivée de la concurrence conduit Eric Brac de La Perrière vers la sortie

PUBLIÉ LE 2 OCTOBRE 2015
LA RÉDACTION
Archiver cet article
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le magazine pour les acteurs et décideurs du développement durable et des métiers de l’environnement.
Ce n’est pas son bilan qui est remis en cause par son employeur. Dans un communiqué, l’éco-organisme justifie cette décision par des « divergences d’appréciation quant aux orientations futures ». Des différences de vue qui portent « sur la nature et l’agenda des actions à mener dans un contexte nouveau », indique-t-on chez Eco-Emballages. Allusion faite à l’arrivée de nouveaux concurrents, Valorie et le groupe ERP-Landbell, qui ont manifesté leur volonté de battre en brèche le monopole d’Eco-Emballages et de sa filiale Adelphe, sur la gestion des déchets d’emballages ménagers. C’est donc dans un contexte mouvementé qu’Eco-Emballages engage la dernière ligne droite de son actuel agrément, qui arrive à échéance fin 2016. De plus, l'éco-organisme a lancé, fin septembre, le recrutement d’un cadre pour son service de finance et gestion, chargé de « contribuer à développer le dispositif de contrôle interne ». La Cour des comptes est en train de passer sa gestion au crible, ainsi que celle d’Ecofolio, en vue d’un rapport attendu dans les prochains jours. Éric Brac de La Perrière a passé six ans à la tête de la structure. « J’ai été nommé en 2009 pour gérer la grave crise de confiance née des placements financiers opérés par Eco-emballages [dans des paradis fiscaux NDLR] », avait déclaré l’intéressé, lors de son audition en 2011 à l’Assemblée nationale. Il a, durant son mandat (reconduit en 2012), mis en avant des économies de frais de structure. Désormais, l’entité rend compte de la destination de ses placements financiers dans ses rapports annuels. Néanmoins, si le taux de recyclage des emballages a progressé, passant de 63 % en 2009 à 67 % aujourd’hui, il reste loin de l’objectif réglementaire des 75 %.Chrystelle Carroy


PARTAGER :
À LIRE ÉGALEMENT
Chimirec accueille deux nouveaux directeurs
Chimirec accueille deux nouveaux directeurs
Valoriser l’urine aux champs : un défrichage actif
Valoriser l’urine aux champs : un défrichage actif
Federec change de nom et élargit son périmètre
Federec change de nom et élargit son périmètre
Plus de 200 000 tonnes de plâtre recyclées
Plus de 200 000 tonnes de plâtre recyclées
TOUS LES ARTICLES RECYCLAGE
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS