La première étape de ce débat public sera la mise en ligne du site consacré, fin mars prochain. Il « débutera avec une réunion publique qui se tiendra à Paris à la maison de la Mutualité le 17 avril », précise la Commission nationale du débat public (CNDP) dans un communiqué. Des débats et réunions publiques auront lieu à travers la France, notamment à Caen (Calvados), Limoges (Haute-Vienne), Marseille (Bouches-du-Rhône), Toulouse (Haute-Garonne), Fort-de-France (Martinique), Saint-Denis (La Réunion), Lille (Nord), Valence (Drôme) ou encore Narbonne (Aude). « Au total, vingt-trois événements sont prévus dans plus de vingt localités sur toute la durée du débat et des débats mobiles sont prévus pendant la période de réserve des élections européennes », détaille la CNDP. La période de réserve s’établira du 26 avril au 26 mai 2019. Une trêve estivale aura également lieu du 12 juillet au 3 septembre.
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A noter qu’un « groupe miroir » constitué de quinze citoyens recrutés dans treize régions métropolitaines, sera impliqué tout au long du débat. Par ailleurs un « atelier de la relève » impliquera des jeunes dans ce débat pendant deux jours.
La Commission particulière du débat public sur le plan de gestion des matières et déchets radioactifs sera présidée par Isabelle Harel-Dutirou, qui définit le calendrier et les modalités de ce débat.