« J'y vois surtout le signe des difficultés que nous rencontrons. Quand elle a été utilisée lors de problèmes de ce type dans d'autres pays, l'armée a été dotée de pouvoirs spéciaux. Ce n'est évidemment pas possible dans notre cas, car on n'est pas dans ces situations. En matière de lutte contre la drogue, nous avons besoin à Marseille d'un renfort des moyens de police judiciaire, des Jirs (Juridiction interrégionale spécialisée) et d'un nombre plus important de douaniers et d'inspecteurs des impôts travaillant en coordination avec le groupement interrégional de recherches contrôlé par le procureur de la République. » (Source : Nouvel observateur)