Parmi ceux-ci figure l’eau et l’environnement, secteur dans lequel l’Institut s’est fortement impliqué ces dernières années. La moitié des chercheurs employés au Cereat - des chimistes, microbiologistes, agronomes, et environnementalistes - travaillent ainsi pour le service eau et environnement. Au cœur de son activité figure l’identification de paramètres microbiologiques, chimiques, organiques, ou écotoxicologiques de pollution des eaux : eaux de baignade, eau potable, eaux souterraines, effluents industriels et urbains… L’eau est aussi l’un des secteurs d’étude de l’unité de sécurité microbiologique, spécialisée dans la gestion des risques infectieux posés par des produits finis, des procédés ou des projets de recherche.
La construction de ce nouveau centre représente un coût de 23 millions d’euros dont 1,5 millions ont été financés par le Feder (Fonds européen de développement régional). « C’est un projet-phare de notre stratégie pour les dix années à venir, soulignait en 2006 le professeur Philippe Amouyel, directeur de l’Institut, dans la publication interne Pasteur-Lille News. Nous renforcerons [au Cereat] notre axe Recherche et Développement pour contribuer, en partenariat avec les entreprises et le monde industriel, aux services, produits et analyses de demain »Caroline Kim
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