Un chercheur du groupe Siemens a ainsi identifié un mélange de métaux, dont le rhénium, métal très dense dont le point de fusion se situe à 3 200 °C, qui, appliqué sur les ailettes supporte une montée en température au-delà de 1 000 °C. Cette couche protectrice est plus stable que les revêtements traditionnellement utilisés. Elle joue un rôle de protection contre l’oxydation et renforce l’adhésion des couches d’isolation thermique. Résultat, à cette température de fonctionnement, la combustion est plus complète, dégageant donc un rendement énergétique supérieur et réduisant à énergie égale les émissions de CO2.Cécile Clicquot de MentqueContact : Siemens, Norbert.aschenbrenner@siemens.comCliquez ici pour consulter le site de Siemens.Cliquez ici pour écrire à la rédaction de La Lettre de l’environnement.