La chaîne s’est fixé l’objectif de diviser son empreinte carbone par cinq d’ici à 2020. Cela passe notamment par la construction de restaurants « zéro énergie fossile ». Celui de Toulouse-Blagnac est une première étape pour atteindre cet objectif. Isolation renforcée, énergies renouvelables, économiseurs d’eau, etc., le projet aura coûté 5 % de plus que les quelque 1,2 millions d’euros habituels. « Nous comptons aujourd’hui un restaurant vitrine sur 213, mais nous investissons tous les jours dans ces derniers pour les améliorer », assure Philippe Labbé, le président de l’enseigne.
L’objectif étant qu’à terme chaque restaurant satisfasse aux points obligatoires de la charte en préparation et donc obtienne le label. « Ses critères ne seront pas très éloignés de ceux de l’écolabel européen Restauration qui est actuellement en préparation et que nous solliciterons dans un deuxième temps », précise Philippe Labbé. L’entreprise fera réaliser cette année un second Bilan carbone de tous son réseau (le premier date de 2005) « afin de mesurer les progrès réalisés ».FTLe site de Courtepaille