« Revoir le calendrier des appels d’offres, tant sur l’éolien posé que flottant, selon un séquençage d’au moins 1.000 MW attribués par an ; équilibrer les appels d’offres de l’éolien posé et flottant ; cibler des appels d’offres sur le flottant ; ne pas mettre en concurrence les façades Méditerranée, Atlantique et Manche ; tenir compte des ouvrages et capacités de raccordement afin d’optimiser les coûts. » Voici les principales propositions établies par les régions littorales et les industriels de l’énergie marine renouvelable dans le cadre du projet de loi de programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE).
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« L’éolien en mer posé est aujourd’hui l’une des filières énergétiques les plus compétitives en Europe, et la France n’y fera pas exception, comme l’appel d’offres de Dunkerque devrait le prouver. De la même manière, l’éolien en mer flottant est une filière d’avenir et a vocation à converger vers des prix compétitifs, sur l’horizon de temps de la PPE, en cours de révision, c’est-à-dire d’ici 2028 », ont précisé France Energie Eolienne et le Syndicat des énergies renouvelables.