Le 13 janvier, les sénateurs ont exprimé leurs inquiétudes lors d’un débat quant à l’avenir d’EDF. Son plan de réorganisation, nommé « Hercule », consisterait à filialiser les activités commerciales et hydrauliques sous un « EDF Bleu » ; ou bien réorganiserait les activités d’EDF en trois parties, placées sous l’autorité d’une holding : « EDF Bleu », pour le nucléaire et le gestionnaire RTE ; « EDF Azur », filiale de la précédente, pour les grands barrages ; et « EDF Vert », pour les énergies renouvelables, le distributeur Enedis et les activités commerciales de vente d’électricité. Les deux premières parties seraient nationalisées, et la troisième privatisée.
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