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POLLUTIONS

Chimie verte : les sucriers à couteaux tirés

LA RÉDACTION, LE 4 JUIN 2015
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La filière entre à peine en phase industrielle, mais elle constitue une prometteuse voie de diversification pour ces producteurs de betteraves sucrières à l’approche de la fin des quotas dans l’Union européenne. À partir de 2017, les États membres pourront importer librement du sucre, ce qui risque d’accroître les surcapacités de production des sucriers européens. Tereos est ainsi en phase de négociation avec le néerlandais Avantium. Le partenariat exclusif vise à faire de l’usine de Lillebonne de Tereos une unité de production de bioplastique issu des résidus agricoles. L’accord aurait un double avantage pour Tereos : elle permettrait de reconvertir un site industriel initialement destiné à produire du bioéthanol mais dont les perspectives d’activité ont été balayées par le récent changement de réglementation européenne. Quelques jours auparavant, Cristal Union avait annoncé la création d’une société commune avec Global Bioenergies, dont il détient déjà 6 % du capital. Baptisée IBN-One, et détenue à 50-50, cette entreprise a pour vocation de construire et d’exploiter en France la première usine de conversion de ressources renouvelables en isobutène, qui pourrait entrer dans la production de bioplastiques par la suite. Plusieurs sites potentiels ont été identifiés. « IBN-One est un pont entre l'industrie du sucre et la pétrochimie », estime Alain Commissaire, le directeur général de Cristal Union, « et s'inscrit pleinement dans la politique d'augmentation des surfaces betteravières prévue par Cristal Union en vue de la fin des quotas sucre ». L’investissement est estimé à 100 millions d’euros. L’usine pourrait entrer en service en 2018.JDLe site de TereosLe site de Cristal Union


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