Plutôt que des marchés « ultra-allotis » qui se cantonnent, par exemple, aux seuls déchets résiduels, la Fnade prône des contrats qui se répartissent par territoires dans une logique où « tous les flux sont interdépendants les uns des autres », relève Bertrand de Quercize, de la fédération. Ceci en vue de « passer d'une logique de moyens à une logique de résultats », avec des critères de performance, de type environnemental, économique ou technique.