Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
TERRITOIRES

Sécurité : la technologie sert à la tranquillité de vie

LA RÉDACTION, LE 1er MARS 2012
Archiver cet article
Newsletters
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Le Journal des Communes Durables : Quelles différences existe-t-il entre la vidéosurveillance et la vidéoprotection ? Luc Strehaiano : Cette nouvelle appellation - vidéoprotection - se veut plus en rapport avec la finalité des dispositifs de caméras installées sur la voie publique : protéger les « honnêtes gens », c'est-à-dire la très grande majorité de nos concitoyens plutôt que de surveiller les malfaisants. Ces termes, l'un comme l'autre, correspondent à une appellation générale qui recouvre des dispositifs plus ou moins élaborés de surveillance de l'espace public allant du simple enregistrement aux systèmes interactifs en temps réels. Certains préfèrent même utiliser le terme de vidéotranquillité. Mais, finalement, ces mots peuvent être considérés comme des synonymes. JCD : Quels enjeux vont être présentés lors de l'atelier vidéprotection ? L.S. : L'enjeu fondamental de cette rencontre est de montrer que cet outil peut être très performant mais qu'il ne doit pas être considéré comme une fin en soi. Il est un des éléments d'une politique efficace mais reste, naturellement, très lié à tous les autres. Comme le disait souvent - non sans bon sens - mon prédécesseur à la présidence de la Commission nationale de la vidéoprotection : « on n'a jamais vu une caméra descendre de son mat et, avec ses petits bras musclés, appréhender un malfaisant ». Non, pas elle à proprement parler. Mais que cette technologie y contribue directement ou indirectement, nous en avons des preuves chaque jour. Les élus locaux l'affirment avec moi : il n'est de tranquillité de vie sans sécurité assurée. Cette tranquillité de vie est due à toutes et à tous, elle est un droit sur chaque parcelle de nos territoires. C'est dans cet esprit que nous nous appliquons au quotidien à assumer nos responsabilités dans la coproduction de tranquillité publique. À l'évidence, cette démarche est partenariale et nécessite d'abord la compréhension puis l'adhésion de tous.


PARTAGER :
À LIRE ÉGALEMENT
Tribune | Immobilier : pourquoi la facturation électronique est (au moins) aussi stratégique que le DPE
Tribune | Immobilier : pourquoi la facturation électronique est (au moins) aussi stratégique que le DPE
Tribune | DPE 2026 : un coup de pouce pour les chauffages électriques… mais un coup de pression pour les copropriétés !
Tribune | DPE 2026 : un coup de pouce pour les chauffages électriques… mais un coup de pression pour les copropriétés !
Changement climatique : 1 md€ pour adapter les territoires
Changement climatique : 1 md€ pour adapter les territoires
Dossier/2 | Sargar : Désensibiliser le terrain
Dossier/2 | Sargar : Désensibiliser le terrain
TOUS LES ARTICLES TERRITOIRES
Les plus lus
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS