« S'agissant des dotations aux collectivités, l'État est le premier à devoir traduire en acte la notion d'égalité des territoires en rompant avec l'approche strictement urbaine, considérant les seules charges de centralité au mépris des charges de ruralité. Les maires ne supportent plus l'injustice des différences qui sont faites entre un habitant des villes et un habitant des champs en matière de dotations et qui ne se justifient plus », a souligné Vanik Berberian en précisant que les maires ruraux mettaient « en garde le gouvernement en cas d'absence de geste fort dans ce domaine. »