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Perturbateurs endocriniens : l’ONG Générations Futures estime que le gouvernement ne va pas assez loin

LA RÉDACTION, LE 18 JUILLET 2017
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Perturbateurs endocriniens : l’ONG Générations Futures estime que le gouvernement ne va pas assez loin
Le gouvernement français vient de publier des listes des pesticides contenant des perturbateurs endocriniens. Elles ne seraient ni exactes, ni suffisantes selon Générations Futures.

La lutte du gouvernement français contre les perturbateurs endocriniens serait-elle insuffisante ? C’est en tout cas ce que semble penser l’ONG Générations Futures. Pourtant, le 13 juillet 2017, le gouvernement a publié des listes élaborées par le Centre commun de recherche de la Commission européenne, faisant état des pesticides et biocides susceptibles de contenir des perturbateurs endocriniens. Quelques jours auparavant, le 4 juillet, la France votait pour la proposition de la Commission européenne sur les critères scientifiques de définition des perturbateurs endocriniens. Des critères auxquels s’oppose Générations Futures. Le ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot, avait également rappelé sur le plateau de BFMTV, vouloir rester « ferme » sur cette question.

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Néanmoins, pour Générations Futures, la publication de cette liste ne va pas assez loin, d’autant que « la définition finalement adoptée début juillet modifiera la liste et les lignes directrices actuellement en discussion », estime l’ONG dans un communiqué. Il s’agirait donc d’une liste temporaire, qui pourrait être finalement restreinte. Sur le site du ministère, il est d’ailleurs précisé que « des substances sont (...) susceptibles de ne plus figurer dans cette liste après analyse détaillée par les agences sanitaires européennes. A l’inverse, d’autres substances non identifiées à ce jour peuvent y être intégrées ultérieurement. » Générations Futures souligne également que « la liste publiée semble longue mais porte sur des produits commerciaux. Il faudrait maintenant que les ministères publient la liste des matières actives concernées (...). »


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