La lutte du gouvernement français contre les perturbateurs endocriniens serait-elle insuffisante ? C’est en tout cas ce que semble penser l’ONG Générations Futures. Pourtant, le 13 juillet 2017, le gouvernement a publié des listes élaborées par le Centre commun de recherche de la Commission européenne, faisant état des pesticides et biocides susceptibles de contenir des perturbateurs endocriniens. Quelques jours auparavant, le 4 juillet, la France votait pour la proposition de la Commission européenne sur les critères scientifiques de définition des perturbateurs endocriniens. Des critères auxquels s’oppose Générations Futures. Le ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot, avait également rappelé sur le plateau de BFMTV, vouloir rester « ferme » sur cette question.
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