Leur conception associe une structure photonique et un film coloré mince déposé par polymérisation plasma. D’une épaisseur de moins de 100 nm, ces couches sensibles sont à même de détecter n’importe quelle modification de composition dans l’entourage du capteur et de le traduire par un changement de couleur. Cette modification de teinte est ensuite amplifiée par la structure photonique. L’idée est de pouvoir connecter des éléments sensibles à différents gaz pour créer un miniréseau sur puce
de suivi en temps réel de la concentration en gaz polluants dans une ville. L’approche est d’autant plus réaliste que la production peut faire appel à des savoir-faire industriels existants. Les chercheurs estiment le coût de tels dispositifs à 30 € environ. CONTACT: CSIC, Institut des sciences des matériaux, tél. : 00 34 95 44 89 527, angelbar@icms.csic.esCécile Clicquot de MentqueCliquez ici pour découvrir et vous abonner à La Lettre de l’environnement.
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