En marge de la COP23, actuellement en cours à Bonn (Allemagne) jusqu’au 17 novembre, 25 villes du réseau « C40 cities » se sont engagées à présenter un bilan neutre d’ici 2050. Parmi elles : Boston (Etats-Unis), Quito (Equateur), Los Angeles (Etats-Unis), Rio de Janeiro (Brésil), Stockholm (Suède), Vancouver (Canada), Caracas (Venezuela), Copenhague (Danemark) ou encore Londres (Royaume-Uni) et Barcelone (Espagne). Ces villes qui représentent 150 millions d’habitants, s’engagent à établir des plans ambitieux avant fin 2020, pour « assurer le respect des engagements de ces villes en matière de réduction des émissions, conformément aux objectifs établis par l’Accord de Paris », précise le réseau dans un communiqué. « Ces plans démontreront aussi la capacité d’adaptation et d’amélioration de chaque ville au regard de sa résilience face aux crises climatiques et aux phénomènes météorologiques extrêmes. (…) », est-il ajouté.
PUBLICITÉ
Lundi 23 octobre déjà, les maires de 12 villes membres du « C40 cities », ont signé un engagement commun pour lutter contre la pollution atmosphérique. Paris, Londres, Los Angeles, Barcelone, Mexico, Seattle, Le Cap, Copenhague, Vancouver, Milan, Quito et Auckland, toutes signataires, ont désormais pour objectif de déployer des bus uniquement électriques ou à hydrogène à l’horizon 2025 pour leur réseau de transports en commun, et de se transformer en zones à émission zéro d’ici 2030.