Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
POLLUTIONS

Web'air, le logiciel pour choisir le meilleur traitement de l'air

LA RÉDACTION, LE 10 JANVIER 2017
Archiver cet article
Newsletters
Toute l'information de cette rubrique est dans : Environnement Magazine
Les industries qui doivent traiter leurs émissions avant rejet dans l’atmosphère disposent de plusieurs technologies, qui peuvent se combiner. Cependant, il est souvent compliqué d’anticiper les coûts d’exploitation et la consommation énergétique liés à leur usage. C’est en tenant compte de ces trois enjeux que la société Web'air a développé un logiciel d’aide à la décision pour trouver la solution qui optimise l’efficacité du traitement des polluants, la consommation énergétique, de consommables et la production de déchets. « Nous avons constitué une base de données de 250 composés, avec au moins 50 données pour chacun : paramètres physico-chimiques, noms synonymes, informations réglementaires, phrases de risques, etc. Les renseignements sur la condensation de vapeur, en particulier, ont été difficiles à obtenir », détaille Damien Weber, gérant de Web'air. La base de données inclut les composés organiques volatils non méthaniques (COVnm) et d’autres molécules « classiques », comme le disulfure d’hydrogène, l’eau, le méthane, etc. Pour chaque site industriel est rentrée une batterie de données : le débit d’extraction, les composés à traiter, leur concentration, la température, l’hygrométrie, le taux de production… « En fonction du résultat, nous pouvons retenir une ou plusieurs configurations d’installation ». Ainsi, pour un flux très concentré en un polluant, une solution regroupant condensation et charbon actif sera proposée, avec dimensionnement de l’échangeur de chaleur, consommation énergétique, quantité de charbon actif, taille de l’installation, etc. Le logiciel, finalisé mi-2016, a été validé dans des installations existantes. Pensé pour un usage interne, il pourra être cédé sous forme de licence à des bureaux d’études. Albane Canto  @page { margin: 2cm } p { margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; color: #00000a; line-height: 120%; text-align: left; orphans: 0; widows: 0 } p.western { font-family: "Liberation Serif", serif; font-size: 12pt; so-language: fr-FR } p.cjk { font-family: "SimSun"; font-size: 12pt; so-language: zh-CN } p.ctl { font-family: "Arial"; font-size: 12pt; so-language: hi-IN }


PARTAGER :
À LIRE ÉGALEMENT
[Tribune] La qualité de l’air intérieur dans les logements en question
[Tribune] La qualité de l’air intérieur dans les logements en question
PFAS : Chemours annonce la fermeture en juin de son site dans l'Oise
PFAS : Chemours annonce la fermeture en juin de son site dans l'Oise
Un barrage pour stopper la pollution plastique avant qu’elle n’atteigne l’océan
Un barrage pour stopper la pollution plastique avant qu’elle n’atteigne l’océan
Veolia et le CNRS boostent la recherche environnementale
Veolia et le CNRS boostent la recherche environnementale
TOUS LES ARTICLES POLLUTIONS
Les plus lus
L'essentiel de l'actualité de l'environnement
Ne manquez rien de l'actualité de l'environnement !
Inscrivez-vous ou abonnez-vous pour recevoir les newsletters de votre choix dans votre boîte mail
CHOISIR MES NEWSLETTERS