Jusqu’en juin 2019, Île-de-France Mobilités (ex-STIF) et Airparif vont mesurer, en conditions réelles d’exploitation et de circulation – avec des passagers à bord –, les émissions de gaz d’échappement d’un panel de 22 bus diesel et hybrides représentatifs du parc de bus franciliens. L’autorité organisatrice des transports en Île-de-France rappelle que « les bus diesel représentent actuellement 83 % du parc de 9.500 véhicules en circulation. »
PUBLICITÉ
1,5 million de Franciliens potentiellement exposés
En Île-de-France, « environ 1,5 million de Franciliens, soit 12 % de la population régionale, sont potentiellement exposés chaque jour à des niveaux de pollution qui ne respectent pas les valeurs limites en NOx », a rappelé Valérie Pécresse, présidente d’Île-de-France Mobilités et de la région francilienne, qui a tenu à ajouter : « J’ai lancé des commandes massives de bus propres pour les prochaines années et établi une feuille de route ambitieuse pour qu’il n’y ait plus de bus diesel dès 2025 en zone dense, et 2029 pour l’ensemble de la Région. »