Guy Dollé signe une tribune dans Les Échos du 19 mai afin de défendre l'indépendance du « dernier fleuron » de la sidérurgie française Ascométal. L'ancien patron d'Arcelor soutient l'une des offres de reprise car elle est, assure-t-il, la mieux disante au plan industriel et au plan social. Il revient sur l'histoire récente vécue par l'enreprise, spécialiste des aciers longs spéciaux, qui a été revendue quatre fois en l'espace de quinze ans. Or, souligne Guy Dollé, Ascométal produit les aciers de pièces critiques comme les roues des TGV ou encore les tudes sans soudure destinés à l'industrie pétrolière et gazière.